Pour certains métiers, la consommation du salarié d’alcool ou de stupéfiants au travail peut entrainer de graves conséquences.
Les employeurs doivent y apporter une attention particulière et prévoir les dispositions internes nécessaires (règlement intérieur, etc.). La chambre sociale de la Cour de cassation a eu à rappeler les règles en matière de licenciement.
Dans des métiers soumis à de fortes exigences de sécurité, le refus du salarié de se soumettre à un contrôle d’alcoolémie ou de stupéfiants, le refus de l’employeur de pratiquer la contre-expertise demandée tardivement par le salarié ne privent de cause réelle et sérieuse le licenciement du salarié en état d’ébriété ou semblant sous l’emprise de drogue.
https://www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000048550530?isSuggest=true